
Joe Foley
Athlete / Athlète
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Category / Categorie | Athlete | Athlète |
Year of Induction / Année d’intronisation | 1987 | |
Date of Birth / Date de | July 19, 1938 | |
Boxing Club(s) / Club(s) de boxe | Oromocto Boxing Club | |
Biography / Biographie | Through his work with the Oromocto Boxing Club, a organization he founded with fellow boxer Arnold Fleiger, he helped troubled youths get rid of the anger that enveloped their bodies and gave them the means of turning it into positive energy.
For the many who fell within this category, Joe was a godsend.
« Those were among the best years of my life, » Joe recalled in a 1999 interview. « Keeping kids off the street and working with Arnold Fleiger. Together we put some great fighters through. »
Mr. Fleiger had made his own mark in the sport by hanging tough in the ring with world heavyweight contender Yvon Durelle in the 1950s.
Even after leaving The Post, my contact with Joe continued.
Through my weekly columns, Joe provided me with information on boxers he had fought against over the years, those he admired, and others who worked as hard as him to promote the sport. Through my subsequent mini-profiles, they, too, received some much needed recognition.
Joe was in his glory.
As a result of this, I was twice honoured with special plaques – by Joe himself and by the Canadian Boxing Hall of Fame. Both mementoes hang with distinction on the wall of my den.
One of my proudest moments was being asked by Joe to be the ring announcer at an outdoor boxing event he organized at what was then referred to as Waasis Road Junior High.
Joe, a former member of the now-disbanded Royal Highland Regiment of Canada, better know as the Black Watch, was recognized for his many efforts by being named Mr. Boxing Canada, a distinction he earned on three occasions.
During his boxing career, Joe won 46 fights, 35 by knockout. He was Canadian Army Infantry Brigade Champion from 1958 to 1961.
During a visit to Joe’s Barker Street home a number of years ago, I found more than 100 awards, diplomas and certificates displayed, all of which characterized some of his personal milestones or community accomplishments.
« What keeps me going is the fact that I do everything voluntarily, » Joe said. « I never get paid for anything. »
Among his most treasured possessions was a glass case that held an award honouring his Aug. 1, 1987, induction into the Canadian Boxing Hall of Fame.
« That means a great deal to me, » Joe said, while holding a picture he had taken with another boxing great, former world heavyweight champion Floyd Patterson.
In the late 1990s, Joe was named to the Ontario-based World Boxing Hall of Fame. | Grâce à son travail au sein de l’Oromocto Boxing Club, une organisation qu’il a fondée avec son collègue boxeur Arnold Fleiger, il a aidé les jeunes en difficulté à se débarrasser de la colère qui les habitait et leur a donné les moyens de la transformer en énergie positive.
Pour tous ceux qui entraient dans cette catégorie, Joe était une aubaine.
« Ces années ont été parmi les plus belles de ma vie », se souvient Joe lors d’une interview en 1999. « Garder les enfants hors de la rue et travailler avec Arnold Fleiger. Ensemble, nous avons fait passer de grands combattants ».
Même après avoir quitté le Post, mes contacts avec Joe se sont poursuivis.
Dans le cadre de mes chroniques hebdomadaires, Joe m’a fourni des informations sur les boxeurs qu’il avait affrontés au fil des ans, sur ceux qu’il admirait et sur d’autres qui travaillaient aussi dur que lui pour promouvoir ce sport. Grâce aux mini-profils que j’ai réalisés par la suite, ils ont eux aussi reçu la reconnaissance dont ils avaient tant besoin.
Joe était dans sa gloire.
En conséquence, j’ai été honoré à deux reprises par des plaques spéciales – par Joe lui-même et par le Temple de la renommée de la boxe canadienne. Ces deux souvenirs sont accrochés avec distinction au mur de ma tanière.
L’un des moments dont je suis le plus fier est celui où Joe m’a demandé d’être l’annonceur du ring lors d’un événement de boxe en plein air qu’il avait organisé à ce qui s’appelait à l’époque Waasis Road Junior High.
Joe, ancien membre du Royal Highland Regiment of Canada, mieux connu sous le nom de Black Watch et aujourd’hui dissous, a été récompensé pour ses nombreux efforts en étant nommé M. Boxe Canada, une distinction qu’il a obtenue à trois reprises.
Au cours de sa carrière de boxeur, Joe a remporté 46 combats, dont 35 par KO. Il a été champion de la brigade d’infanterie de l’armée canadienne de 1958 à 1961.
Lors d’une visite au domicile de Joe, rue Barker, il y a quelques années, j’ai trouvé plus de 100 récompenses, diplômes et certificats exposés, tous caractérisant certaines de ses étapes personnelles ou de ses réalisations au sein de la communauté.
« Ce qui me permet de continuer, c’est le fait que je fais tout bénévolement », explique Joe. « Je ne suis jamais payé pour quoi que ce soit.
Parmi les objets qu’il chérit le plus, il y a un coffret en verre qui contient un prix honorant son intronisation au Temple de la renommée de la boxe canadienne, le 1er août 1987.
« Cela représente beaucoup pour moi », a déclaré Joe, tout en tenant une photo qu’il avait prise avec un autre grand de la boxe, l’ancien champion du monde des poids lourds Floyd Patterson.
À la fin des années 1990, Joe a été nommé au World Boxing Hall of Fame (Temple de la renommée de la boxe mondiale), basé en Ontario. |
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